Zoco - Ambrosio Velasco Zoco Pacharán 1 Litre

16,00 EUR

Description

Rien n'est plus typiquement navarrais qu'un excellent pacharán. Selon l'histoire, cette boisson était déjà appréciée dans le nord de l'Espagne au Moyen Âge. Aucun mariage n'était célébré sans ce digestif d'épine noire ! Même la reine Blanche de Navarre l'utilisa comme remède lorsqu'elle tomba malade en 1441 au Monastère de Santa María de la Nieva. De nos jours, ce digestif aux vertus quasi miraculeuses (du moins, c'est ce qu'il semble) demeure un best-seller. Vous aimeriez découvrir de quoi il s'agit ? Dégustez donc un verre de Zoco Pacharán. La maison familiale Zoco - Ambrosio Velasco est à l'origine de la production de ce digestif, entièrement traditionnel, dont la recette se transmet dans la famille depuis le début du XXe siècle. L'initiateur en fut Ambrosio Velasco qui, en 1926, présenta le Zoco Pacharán parmi ses produits. Depuis lors, la famille a perpétué cette fabrication, veillant constamment à la qualité à chaque étape du processus de production. Zoco Pacharán est élaboré de manière traditionnelle, par la macération des prunelles dans de l'anis. Ce fruit, appelé marañón en Navarre, est semblable à la prune, - légèrement plus petit -, de couleur noire bleutée et totalement acide et astringent. Peut-être pour cette dernière raison, le moment optimal de maturité est crucial, bien qu'il ne soit pas consommé comme fruit, il est essentiel qu'il atteigne les standards de qualité requis. À ce stade, les prunelles sont récoltées pour le Zoco Pacharán et mélangées à l'anis, où elles macéreront pendant environ trois mois. La stabilisation naturelle et une ultime filtration donneront la touche finale à ce digestif qui bénéficie également de l'Appellation Spécifique Pacharán Navarro. Ce label de qualité est devenu nécessaire, car, suite au succès rencontré par Zoco Pacharán à la fin des années 70, les contrefaçons et imitations ont commencé à surgir à foison. Comme le disait Coco Chanel : « Pour être irremplaçable, il faut toujours être différent ». Plus navarrais, tu meurs !